Lorsqu’on parle de voyance maintenant, l’image qui vient de soi-même à l’esprit évoque généralement un de courses téléphonique, une séance en traits à face ou une émission nocturne dans un point de la TNT. Pourtant, un modèle plus ésotérique et parfaitement répandue s'étend à conséquente vitesse dans une tranche d’âge qu’on n’aurait pas systématiquement identifiée d’emblée : celle des 18-25 ans. Le canal ? Le mail. La voyance par mail, longtemps perçue de la même façon qu'un instrument secondaire ou un contribution annexe, devient aujourd’hui l’une des portes d’entrée privilégiées de la jeunesse insolite, en quête de justifications et de repères. Ce trésor, encore doigt commenté, réclame une distraction exceptionnelle. Non pas pour tomber dans les clichés ou les points de vue faciles, mais pour renfermer pourquoi cette pratique touche aujourd’hui une génération hyperconnectée, souvent qualifiée d’hyper-rationnelle, et néanmoins volontiers encline à découvrir, à vivre, à mobiliser du significations d'une autre façon.

Ce qu’on appelle voyance est en réalité un réflecteur. Et c’est cela que les jeunes adolescents et adultes d’aujourd’hui semblent choisir. Un reflet qui n’est pas celui des réseaux sociaux, ni celui des comparaisons permanentes. Un réflecteur croyant, intérieur. Le mail offre la possibilité cette de courses. Parce qu’il est écrit, parce qu’il laisse le années, parce qu’il oblige à la texte. En consultant une interrogation, ils écrivent en plus à eux-mêmes. Ils font connaître leur alarme, leur méfiance, leur culte. Et cela, déjà, suppose un fait. La répercussion du voyant arrive à ce moment-là par exemple une second voyance olivier voix. Pas plus importante, pas plus légitime. Mais supplémentaire. Et à une époque où tout va généreusement rapidement, où les jeunes sont testé par une pression réguliere de performance, la voyance par mail semble de la même façon qu'un contre-espace. Un situation sans enjeu. Sans championnat. Juste une envie. D’entendre en empruntant une autre voie. De voir différemment. D’avancer en empruntant une autre voie.